Les Droits et les Libertés
Introduction a Volume 9, Number 2 de Connexions Digest

Par Ulli Diemer


En rédigeant Connexions, qui se concentre à une question sociale où politique différente dans chaque édition, nous trouvons souvent que les problèmes qui se semblent complètement distincts ont des liens très forts. Ceci n'était jamais si évident que dans l'édition courante de "Droits et Libertés." Les libertés civiles et les droits de l'homme font partis clés dans presque chaque autre aspect de la justice et des changements sociaux.

La difficulté à changer le rôle des femmes dans la société, par exemple, est souvent reliée à l'égalité et les droits de l'homme. Les questions environnementales se concernent notre droit à respirer de l'air frais, à l'eau potable, ou mener une vie en harmonie au lieu d'être en conflit avec la nature. Les questions économiques placent le droit de gagner sa vie, à sa part de la richesse sociale, à la sécurité à l'avenir. La question de paix touche le droit lui-même de vivre, sans inquiétudes de l'anéantissement.

La société de l'ouest est bien coloré de l'idée/concept que nous avons des droits qui sont les nôtres "par droit," et non pas un privilège accordé par un autorité. Des divisions politiques les plus écartes de notre temps/ère viennent des tentatives de définir les droits de l'homme. Cela est particulièrement vrai au sujet du droit de la "liberté." Que la liberté est-elle, pour l'individu et pour l'ensemble ? La liberté de quoi ? La liberté de faire quoi ? Dépendant de quelles restrictions à protéger les libertés et les droits des autres ?

Si la liberté est la capacité de formuler sa vie sans être sous la domination des autres, alors qu'est-ce que sont les éléments et les pré-conditions ?

Sommes-nous vraiment libres, par exemple, si nous sommes trop pauvres à obtenir le logement acceptable, les soins médicaux (appropriés), ou la formation ? Quelle est la légitimé de notre « liberté de parole,» si le discours publique est dominé par certains chaînes grandes de médias, entreprises et la publicité payé, et nous n'avons aucune façon raisonnable ou efficace de nous faire entendre ? Quelle est la légitimé du droit à l'égalité qui est nominalement assurée par la loi cependant les inégalités immenses de la richesse et pouvoir ? Dans une société où la définition de la liberté est par primordial un de choix entre les alternatives sur le marché, que se passe à la possibilité de choisir des options qui ne sont jamais offertes : par exemple, le choix de vivre dans une communauté au lieu d'acheter ou louer simplement le logement ?

N'importe quelle discussion des droits entraîne la reconnaissance que les êtres-humaines sont sociaux et en même-temps des individus et donc des droits humains contiennent les droits sociaux et collectifs aussi que les droits de l'individu.

La société occidentale a fait traditionnellement la comparaison des droits sociaux avec des droits civils, nos droits comme des citoyens individuels : le droit au traitement égal selon la loi, le droit de voter, le droit de s'associer avec d'autres individus pour des raisons politiques ou d'autres raisons. Les droits moins, plus lentement, acceptés sont les droits sociaux ou collectifs, par exemple le droit à l'assurance maladie, ou la formation, ou à l'aide au cas de la malchance économique, ou nos droits comme ouvriers, homosexuels et lesbiennes ou vieux. Cela est vrai en particulier au cas où ce genre des droits sont en conflit - aussi souvent que ceci se passe - avec ceux que la société occidentale prend le droit le plus fondamentale : les droits à la propriété. Par exemple, les organisations syndicales, et les droits des personnes qui travaillent qu'ils représentent, ont été souvent attaquées en matière de protéger les droits et les libertés de propriétés.

Les idées plus radicales des droits sociaux sont souvent en conflit avec l'ordre déjà établi : par exemple, les personnes qui font le travaille devraient avoir le droit de contrôler leur travail est un anathème à ceux qui ont les moyens de produire la richesse. De la même façon, l'idée que le droit à la démocratie signifie logiquement la participation et le contrôle partagés et directes de tous qui se sentent les effets des décisions est écarté comme impossible et probablement « subversif. » Alors, le droit au voter devient la dénégation au droit de participer plus directement au prendre des décisions.

Mais beaucoup des droits et des libertés pour lesquels les personnes se débattent sont acceptés en général et instinctivement comme juste qu'il devient difficile et même dangereux pour ceux qui les opposent pour les faires aussi d'une façon directe ou explicite. Au lieu, ils reçoivent que des mots, ou une série des droits est refusée en attirant aux autres idées.

S'il y a qu'une tendance qui est claire dans presque chaque société, il est vers une meilleure centralisation, bureaucratie et le contrôle sociale et un raccourcissement correspondant de l'individu et les libertés collectives. L'agent principal de ce processus est l'état, souvent associé à et aidé par d'autres institutions, classes et élites, et des idéologies qui produisent le pouvoir social.

L'essor implacable des structures du pourvoir dominés par l'état est souvent expliqué comme nécessaire à accomplir les droits sociaux qui sont vus en général comme juste et désirable. Pour obtenir la sécurité économique, ils nous racontent, nous devons produire plus de pouvoir policier et les bureaux de la sécurité de l'état. Pour être protégé de la littérature odieuse et la pornographie, il faut que nous acceptions que l'état ou ses bureaux prennent la décision en matière de ce qui est approprié à exprimer ou publier. Pour garantir les services obligataires, nous devons céder ou bien réduire notre droit à négocier collectivement et se rétracter notre travail en face la grève. Pour obtenir du crédit, ou un emploi au gouvernement, nos informations les plus personnelles doivent êtres soumis et bien examinées. Pour garantir l'administration efficace et « juste » de tous les programmes et des institutions sont mis en place, en théorie, pour que nous en profitions, nous devons soumettre de plus en plus aux impératives aux ordinateurs, la technologie et les formes hiérarchiques et contrôlant des organisations sociales.

« Si quelqu'un n'est pas libre, alors personne n'est libre, » parce qu'un aspect important de n'importe quel dénégation de droits, n'importe quel affaiblissement de libertés, est qu'il établie le droit et améliore le pouvoir, de l'état (ou d'autres institutions) à rejeter des droits, à décider lesquels des droits soient et lesquels qui ne soient pas utilisés.

Pour cette raison-ci, une partie fondamentale de n'importe quelle stratégie pour des droits et des libertés doit être de contester la légitimité et le pouvoir de l'état, et ses alliés, à permettre ou retenir des droits et des libertés. À l'analyse final, la perception de la légitimé est le soutien le plus fort du pouvoir. En réalité, ceci signifie que ceux qui cherchent une société plus libre et juste ne peuvent pas se fier à l'état à accomplir leurs buts. Même les mesures bénéficiaux sont souvent ambigu, à double tranchant, les deux parce qu'ils augmentent les poids à l'état de la société, et parce que typiquement le prix exigé par toute institution hiérarchique, centralisé ou bureaucratique qui prend des décisions pour le bien-être général est une restriction de plus de ce qu'il n'est pas capable de facilement contrôler au prévoir la dissidence, la spontanéité, le désir de choisir pour soi-même ; individuellement et collectivement.

Lorsque nous examinons les droits de l'homme, n'importe la définition, il devient évident que n'importe quels droits nous pensons qui devraient exister, ou bien des droits il est dit que nous en avons, les droits que nous avons en réalité ont été réussis et protégés seulement par la lutte. Les droits sont conquis.

Et nous pouvons les perdre, ils soient perdus, si ceux qui les défend sont trop isolées, sans assez de pouvoir, pas assez bien organisés ou pas assez vigilants. Le travail en équipe pour gagner ou défendre un groupe de droits augmente significativement leurs possibilités à réussir s'ils réunissent avec d'autres groupes, en particulier si ces alliances sont non seulement expédient, mais engagé dans une compréhension de la façon que leurs efforts font parties d'un lutte plus grand pour la justice et la liberté.

Bien que ceci puisse être une façon de réduire les exiges à utiliser des droits particuliers, il est aussi vrai des fois que les droits légitimes en fait se sont en conflit. Ceux qui s'occupent avec des droits de l'homme doivent être capables d'admettre et résoudre l'issu des droits en conflit.

Ça ne veut pas dire que dans un monde dans lequel l'état est une force dominante nous ne sommes jamais en face de notre nécessité en mettant poids sur l'état à faire si nous voulons accomplir un but particulier. Mais si nous le faisons, il faut que nous sachions qu'en acquérant quelque chose, nous perdons une chose différente aussi, et il faut que nous soyons préparés à scrupuleusement faire la comparaison entre les plus contre les pertes.

Une de plusieurs découvertes choquantes en faisant cette édition de Connexions était dans quelle mesure des droits et des libertés sont en batte aux attaques, même au Canada, est un des pays les plus libres du monde. Un comment d'un libertaire nous a pris l'attention, « en disant qu'il faut que nous soyons contents que nous vivions dans le pays le plus libre au monde me rappelle l'homme qui est tombé dans un canyon et a cassé 85 os, et il était content de ne pas en avoir cassé 87. »

Malgré quelques victoires, nous, ici au Canada, avons moins de moins de libertés pour lesquelles nous soyons contents. Les pertes de libertés individuelles font assez peurs, mais ce qui fait plus peur est l'étendue et l'intensité de l'assaut.

Les gouvernements, les entreprises et les éléments conservateurs sont en l'offensive dans presque chaque partie de la société, cherchant à augmenter leur contrôle et à réduire le contrôle et à réduire le contrôle des citoyens, employés et la population générale. Leur motivation est pour notre bien-être - comme ils le défissent. Ils ne contestent pas qu'ils savent exactement ce qui est pour notre bien et le droit à prendre des décisions.

La question est si nous les permettons à augmenter leur contrôle à coût de le notre. A travers le Canada les groupes se luttent à protéger et agrandir nos droits et nos libertés. Il y a plus de groupes de ce genre que nous avons pu mentionner dans ces éditions de Connexions. Nous avons essayés à décrire les groupes principaux et les plus représentants.

Karl Marx a noté que, « personne n'oppose la liberté - au plus, il oppose la liberté d'autres personnes. » Nous garantissons notre liberté par soutenir les droits et les libertés d'autres personnes.


Ulli Diemer
1984


Publié dans le Connexions Digest.
Also available in Arabic: Rights and Liberties.
Also available in English: Rights and Liberties.
Also available in German: Rechte und Freiheiten.
Also available in Chinese: Rights and Liberties.
También disponible en español: Derechos y Libertades.